La vie sous toutes les coutures
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Paige A. B. S. Baudelaire
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Paige A. B. S. Baudelaire
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 12:15 ► réponds-lui !

1 a écrit:
Salem en 1825, j’avais 20 ans, la peau jeune. Une vierge encore. Il fallait avouer que j’étais une sorcière hors du commun, pudique, romantique. Je n’étais pas comme celle de l’époque souvent comparée à des catins. J’étais une fille comme les autres qui pratiquait la magie, excellait même. Mon petit air effarouché à chaque fois qu’un homme s’adressait à moi était tellement excellent. Mon petit sourire se dessinait sur mes lèvres alors que je sortais d’une herboristerie avec les ingrédients qu’il me fallait pour une potion. Un bête truc de protection que je voulais faire parvenir à mon frère. Les ingrédients dans un sac de velours alors que ma robe qui montrait bien la richesse de ma tante. Elle était dans les tons blancs et beige. Je n’aimais pas le quartier, cette boutique était mal placée mais alors que je longeais discrètement le long du mur pour ne pas me faire remarquer, un bruit de porte se fit brusquement entendre alors qu’un homme se retrouvait projeter contre le mur. Il avait l’air vachement saoul sous un demi-air de bourgeois et paysan. Par crainte, je me glissais dans un « trou » enfin le renfoncement d’un mur. Il y avait beaucoup de renfoncement pour quand les gens devaient s’abriter de la pluie à l’époque ou quand les pauvres devaient dormir les nuits froides. A l’abris, je me laissais aventurer à glisser la tête pour voir ce qu’il se passait. Curieuse de nature.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 12:54 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
24 ans, un âge où l’on se croit plus fort que tout, et je dois bien admettre que je ne fais pas exception à la règle. Fini la puberté, je suis un homme maintenant, j’ai des poils au menton et ma voix est rauque depuis un moment déjà. Mais je reste tout de même célibataire, au plaisir de certaine filles comme au désespoir de d’autre. En fait j’essai surtout de ne pas trop mélanger boulot et ma vie privé. La sorcellerie est plutôt mal vu dans le coin et je dois dire qu’en dehors du travaille je me laisse souvent aller. Seulement, ce soir je fais comme tout les autres soirs et c’est debout derrière le bar que je regarde ces saoulons s’affaisser contre le comptoir.  Sans grande étonnement l’un d’eux commence à dépasser les bornes, comme pas mal tous les soirs. Et y’a pas à dire je suis le seul à pouvoir remédié à la situation. Agrippant le collet de cet ivrogne à deux sous, j’ouvre la porte de derrière et le balance contre le mur. « Contrôle tes paroles si tu veux rester dans l’bar !» Y’a pas à dire y font chier ses demi portions.


Dernière édition par Duncan Fitzpatrick le Lun 2 Déc - 14:19, édité 1 fois
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 13:41 ► réponds-lui !

2 a écrit:
La pénombre, j’y étais habituée. Je restais souvent dans l’ombre de ma sœur. Non pas que je sois timide ou autres mais elle aimait le regard. Je ne voulais pas tenter de me mettre sur son chemin. Nos relations était formidables, je voulais simplement les conserver. J’avais pour habitude de rester dans mon coin donc j’avais une facilité énorme de me faire discrète. Et là, alors que cet homme était couché au sol, un peu sonné, je ne savais pas quoi faire surtout à la voix rauque qui se fit entendre. Paniquant sur le coup, je pensais réellement qu’une bagarre allait se déclencher. Cet homme pourrait chercher les ennuis mais dans cet état ? Il ne sifflerait pas une mouche. Je fermais les yeux en me concentrant, pensant fortement au lieu dans lequel je voulais être. J’avais depuis toujours le don de la projection astrale mais je ne le contrôlais pas du tout, loin de là. Tellement que je me projetais pile nez à nez avec cet homme, sentant le doux parfum de la bière. Pas si doux et écœurant en passant. Je grimaçais doucement avant de le projeter de l’autre côté de la salle rien que du regard. Il y a un don que je contrôlais parfaitement… la télékinésie. J’en profitais pour courir sous le grognement mécontent d’un type pas plus grand qu’un ogre mais qui avait tout de l’apparence qu’en disaient les contes. Je courrais à la sortie du bar en aidant l’homme bourré qui tentait de se lever. « Levez-vous… », disais-je en le trainant dans la ruelle. Mais lui, il me tripotait… Je faisais des gros yeux bizarrement sauf qu’une fois prés de ce fameux renfoncement, il m’y coinçait. « Merci, comment pourrais-je vous remercier ? », disait-il avec l’haleine d’un chacal.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 14:18 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
De mon regard clair, j’observe l’homme étendu sur le sol, l’odeur de la bière est quelque chose dont mon odorat à une certaine habitude à la sentir. Le crasse et l’odeur de pisse étaient aussi de me quotidien. Je l’entends grommeler et je dois bien admettre que je n’en ai rien à faire. Y faut simplement ne pas me chercher voilà tout. Je viens pour fermer la porte devant ce piètre spectacle quand sans prévenir une donzelle débarque devant moi. Mais d’où elle sort ? Et en une seconde je fus projeté dans le bar, renversant une table au passage qui envoya valsé les chop de bière de deux clients.  Je me fis agripper par le col de ma blouse de lin, envoyant mon poing en plein mâchoire de l’un d’eux, je pris la poudre d’escampette. Non pas parce que j’ai peur d’eux loin de là, mais il n’y a qu’une sorte de personne qui peut faire valsé un homme de ma carrure aussi facilement qu’elle l’a fait. J’entends une de mes cousines crier mon nom, mais je suis déjà dehors à la recherche de la jeune fille. Bien que je regarde à droite et à gauche, je n’ai pas la moindre idée de la direction qu’elle a prise. Je reviens sur mes pas et constate que l’homme que j’ai sortis sans délicatesse ne se trouve plus devant la porte. Y faut dire que ça sens le roussit. Je sais quel genre d’homme s’est et je crains le pire pour elle-même si elle peut très certainement se défendre. Tournant autour du bar, je finis par porté mon regard sur deux personnes tapis dans l’ombre. En un instant le barrie qui se trouve près d’eux se mets à trembler. Je ne manie pas encore bien les métaux et franchement en ce moment c’est un peu chiant. Le barrie vient finalement frapper avec violence le dos de l’ivrogne. « Vous n’avez rien ? »
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 14:33 ► réponds-lui !

3 a écrit:

Il fallait avouer que j’avais un peu épuisée ma force par  la projection astrale. En me poussant dans le renforcement, il a basculé mon vrai corps, me remettant un peu dans celui-ci alors que j’étais encore sous le coup. Je ne réalisais pas de suite, incapable de me défendre sur le coup. Il était bien trop près, je n’avais pas les yeux sur lui alors qu’il rapprochait son visage de mon cou, humant mon parfum comme si j’étais une fleur. Et puis quoi encore ? Je gigotais un peu pour me débattre. Il suffisait juste que j’arrive à le repousser de quelques centimètres. Je ne pouvais déplacer que ce que mes yeux voyaient. « Lâchez-moi ! », disais-je sur un ton d’énervement avant que paf. Il se prit un barrie sur la tête. Je reculais de justesse en me laissant tomber sur le sol enfin dans la boue pour être plus précise pour ne pas que l’homme ne me tombe dessus. Ainsi tâchée tandis que je me levais en l’écoutant me demander si je n’avais rien. Je soupirais doucement. « Moi, non mais ma robe, si. », je le regardais, mécontente. « Je m’en sortais bien toute seule ! », mais là, je réalisais un peu sur le coup qu’il était trop loin pour avant balancé ça et sûrement pas assez fort. J’arquais un sourcil sans commenter ce que je venais de réaliser. « Je pouvais me défendre sans votre aide ! », disais-je alors d’une voix un peu noble, un ton fière qu’une jeune femme légèrement rebelle contre l’aide de la « princesse en détresse ». Je le regardais, ce petit air insolent. « Mais je vous en remercie ! », soufflais-je en le contemplant. Je n’avais pas encore fait attention à se tenue. De quel milieu était-il ? Un paysan ou un noble ? Je n’arrivais pas à le dire. Je me contentais d’avancer dans la ruelle en passant à côté de lui mais le passage là où il se trouvait était aminci par un tonneau de bière. « Dois-je vous faire voler pour passer ? », disais-je alors avec un air un peu hautain. Je ne l’étais pas mais j’avais bien compris grâce à Aurore que c’était comme ça qu’on obtenait ce qu’on désirait.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 16:05 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Soufflant un peu après avoir usé d’un pouvoir que je n’utilisais que très peu, je pose mon regard sur la jeune femme tout comme l’homme étendu sur le sol. Étrangement, je suis beaucoup plus passif que bagarreur, tout du moins du coté de mes pouvoirs. Je ne sais pas trop pourquoi J’ai hérité de ses pouvoirs qui ne vont guère avec ma personnalité. Mais les siens en contre partie vont très bien avec son caractère. Je la regarde et je ne peux m’empêcher de sourire en la regardant agir. Effronté y’a pas d’autre mot. Je regarde sa robe lorsqu’elle me la cite et mon sourire s’élargi un peu plus. J’ignore si je dois remercier cet ivrogne pour m’avoir permis de rencontrer cette jeune demoiselle ou simplement croire au hasard ? Essuyant mes mains contre ma blouse, retirant le plus que je pouvais de saleté qui les recouvrait. Après tout devant une dame, je me dois d’être bien mis. Et cela malgré mes cheveux que j’ai maladroitement noué d’un ruban de cuir, ma tenue de travaille et ma barbe taillé à la va vite. En fait j’ai tout d’un paysan et pourtant je suis loin d’en être un. « Il n’y a pas de quoi. » Rétorquais-je avec une pointe d’amusement dans le fond de ma voix. Mais d’ailleurs que faisait-elle dans ce coin paumé de la ville ? Oui il m’arrive d’avoir ce genre de réflexion à des moments peu opportun. « Je ne crois pas que cela soit nécessaire, de plus il est mal vu, même ici, d’user de ses pouvoirs ainsi. À croire que vous n’avez peur de rien. » En disant cela je croise mes bras sur mon torse et je l’observe d’un regard avisé. Puis je remarque une petite égratignure sur son front. Décroisant une main, j’effleure délicatement sa peau de mes doigts et en un instant la blessure s’en va. Voilà un pouvoir que je contrôle sans peine.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 16:25 ► réponds-lui !

3 a écrit:

Il était une fois une fille complétement idiote, dans quoi m’étais-je fourrée ? Il était vrai que je n’étais pas vraiment du genre à rester dans mon coin en général quand une personne avait besoin d'aide. Et là, je ne voulais pas passer des heures à brasser de l’air avec cet homme qui plus je le côtoyais… plus il semblait comme cet homme allongé à 2 mètres de nous sous un barrie. J’arquais un sourcil en l’écoutant, je n’avais peur de rien ? Pas vraiment tant que je pouvais le regarder ensuite, oui. J’avais peur. Je contrôlais parfaitement mais sort cependant je n’osais jamais que l’on ne m’entende en lancer. Pas en journée. Je le regardais, le défiant du regard, cet air féminin et noble toujours présent. « Effectivement et surement pas de vous ! », disais-je alors avec assurance mais déconcertée alors qu'il posait la main sur moi, faisant je ne sais quoi, je n'avais pas vraiment sentie la douleur. « La prochaine fois que vous me touchez, demandez-moi la permissions sinon vous pourriez le regretter. », disais-je presque dans un grognement. « Laissez-moi passer ! », maugréais-je en perdant possiblement rapidement le semblait de patience qu’il me restait. Je retirais alors le bâton qui nouait mes cheveux pour les laisser se détacher. Cela n’était pas plus qu’une bête allumette que je laissais frotter contre le mur pour l’allumer aussitôt, me rapprochant alors du type sur le sol alors que je mettais ma main dans mon sac de velours en sortant une poignée de jasmin séché et trempé dans de l’eau bénite, la paume tendue vers cet homme, je mis le feu au jasmin à même ma main. Le jasmin protégeait la paume de ma main, l’empêchant de bruler ou même sentir la chaleur grâce à l’eau bénite. Une fois la flamme dans le creux de ma main, je soufflais sur celle-ci en direction de l’homme. « Oublie ! », disais-je alors d’un murmure avant de me relever en regardant ce paysan. « Il oubliera sa journée… bien que sa gueule de bois suffit ! », disais-je avant de lever le menton. « Auriez-vous au moins la décence d vous présenter, quoique vous soyez… devrais-je dire. », disais-je d’un ton désinvolte, un brin sarcastique même.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 16:55 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Un sale caractère. Voilà ce que j’aurai aimé lui dire, mais je suis bien trop poli et gentleman pour lui dire cela. Sa réaction fasse à mon geste me fait littéralement rigolé de l’intérieur, j’essai tant bien que de mal de ne pas lui rire au visage. Je ne pense pas qu’elle apprécierait et même si elle savait que cette simple attention n’était en fait rien de bien mauvais. Je ne suis peux pas douter ou tout simplement trop rustre. Je crois que j’ai laissé en Irlande mes bonnes manières et ma façon galante d’abordé les femmes. Mais au final elle m’intrigue, plus que j’aurais pu le croire, mais je sais que je ne la reverrais très certainement plus après ce soir. Je la regarde s’approcher de l’homme au sol, je ne bronche pas. « Pauvre Wilhelm. », dis-je à voix basse. En effet, bien que je l’aie foutu en dehors de la taverne à grand coup pied aux fesses, je connais cet homme. Nous sommes si peu nombreux comme sorciers et sorcière dans la ville qu’on se regroupe tous pour la plus part dans cet antre diriger par des membres de ma famille. Le pauvre je le plains se réveillé avec la gueule de bois au petit matin sans avoir le moindre souvenir. « Veuillez m’excuser milady, je manque cruellement de savoir être et de politesse à votre égard. » Ma voix avait usé de sarcasme, et se jouant de mes origines, je me penche pour faire la révérence. « Milady, je me présente Duc de Castlebar, Duncan Blaine Mac Giolla Phádraig de Castlebar. » Me voilà à étendre mon titre comme un vulgaire jouvenceau Je ne sais pas ce que je cherche à faire, mais voilà c’est dit.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 17:15 ► réponds-lui !

3 a écrit:

Il était bizarre ce type, il ne réagissait pas réellement enfin oui et non disons qu’il était étrange. Il prenait ça trop à la légère. Ne me pensait-il pas capable d’agir ? Je le regardais en attendant sa réponse tandis que je voulais savoir qui il était mais aussi ce qu’il était, je n’étais pas dupe, d’où le quoique. Il s’excusait avec ce Milady, je détestais quand un homme m’appelait ainsi. Je trouvais ça tellement. Je ne saurais dire. J’inspirais doucement en regardant cet homme attentivement. C’est alors qu’il fait une révérence mais sérieusement ? A quoi jouait-il ? Dubitative, je le contemplais attentivement. Et bim, je riais en le regardant. « Duc ? », répétais-je en arquant un sourcil. « Vous êtes plus vite le bouffon du roi en disant cela. », soufflais-je en souriant. « Une aubaine, j’aime bien rire. », enfin oui et non, je n’en avais pas souvent l’occasion car ma tante avait beau être gentille, elle était toujours sérieuse. Elle n’avait pas vraiment laissée de la place à l’amusement. La dernière fois où j’avais été sur une balancelle juste pour m’amuser et sentir le vent dans mes cheveux, c’était toujours sur la vieille que mon père avait construite dans notre village, juste à côté des porcs dans ma vieille robe du dimanche. « Ma foie, enchantée ! », soufflais-je en haussant les épaules. Ne daignant pas me présenter. « Donc vous êtes un duc capable de balancer un barrie en le portant… de loin, je précise ? », demandais-je alors en le regardant attentivement. Ce regard qui disait bien que je sentais le pot aux roses. C’est alors que cet homme se levait, je ne l’entendais pas, il semblait encore plus silencieux qu’une plume. Et pas content surtout. Ce sort ne marchait que sur les humains mais j’étais persuadée qu’il devait en être un pourtant et bim, pas content, il émit un grognement. Il m’assuma d’un claquement de doigts, je m’affalais sur le sol. Super, un petit dodo mais encore dans la boue…
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 17:35 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Un cristal, voilà ce qui aurait pu qualifier ce rire. Bon ça avait un tout autre effet que son caractère mal lécher. J’ignore ce qui fut si drôle, mais en même temps je comprends les pourquoi de ses rires. Mon apparence n’a rien d’un Duc, loin de là. Seulement, serait-il mieux si je déambulais vêtue de soie et de satin dans ce quartier dépourvu de richesse. Cela ferait bien longtemps que mon corps aurait été retrouvé mort dans le fond d’un caveau. Son impolitesse à ne pas se présenté m’amusa comme tout le reste. Je crois que c’est cette farouche idée a ne rien laisser dire ou paraître qui me plait chez elle. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’amuse plus qu’elle peut le croire. « Il ne faut pas se fier au apparence d’un homme qu’à son allure et son titre. » Et sur ses paroles je vois Wilhelm se relever. J’aurais peut-être mieux fait de lui dire que son petit manège ne fonctionnerait pas sur cet ivrogne, mais trop tard. Je la vois s’écrouler à mes pieds, pendant que mon poing va s’abattre contre la joue de mon ami. Ami, certes c’est un bien grand terme, mais disons qu’il est ce que j’ai de plus proche en ce moment. La femme comme l’homme se trouve tout deux dans une flaque vaseuse. Poussant un soupire, je m’abaisse et je la passe sur mon épaule comme un vulgaire sac à patate. Puis je retourne à la taverne, ouvrant la porte à la volé, je m’empresse de monter les marche jusqu’à la chambre que l’on me prête pour mon séjour en leur compagnie. Séjour qui s’éternise depuis belle lurette. Je la dépose sur mon lit, un lit peu confortable, mais mieux que le sol. Je vais chercher Eloise, ma cousine la plus jeune, pour trouver des vêtements propres à la jeune inconnue et aussi pour la mettre à son aise pendant que je vais prendre un bain. L’eau retire la saleté qui couvre mon corps, je fais cette manœuvre que très rarement, mais bon cette fois je me sens vraiment sale. Je reviens à ma chambre seulement vêtu d’un pantalon de coton, les cheveux encore mouillé et je m’installe à la fenêtre pour lire un roman de ma collection.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 17:53 ► réponds-lui !

3 a écrit:

Ne pas se fier aux apparences, il était comique. « Je ne me fie à rien du tous des hommes ! », maugréais-je alors en haussant les épaules tout naturellement. La dernière chose que j’entendais avant de sombrer. Et paf. C’est une heure après que je commençais à remuer, me retournant en n’osant pas ouvrir les yeux, pas vraiment consciente sur le coup, il fallut quelques secondes avant que je ne réalise ce qu’il venait de se passer, me levant alors d’un bond. Paniquée sur le coup car je ne connaissais pas du tout cet endroit. J’inspirais doucement en regardant vers moi, voyant alors cet homme tors nu dans son pantalon… surement la première fois de ma vie que je voyais un homme autant dénudé devant moi. Sur le coup, je reculais doucement en étant contre le dossier de ce lit de paysan. J’avais dormie sur plus inconfortable pendant mon enfance. « Qu’est-ce que je fais là ? », demandais-je alors en arquant un sourcil. Je ne savais pas du tout quoi faire. L’éjecter par la fenêtre ? Et après ? Mon regard ne décollant pas de son nudisme bien visible, je pouvais sentir mes joues rougir sur le coup. Oui, une pucelle n’a pas vraiment l’habitude de croiser un homme dont la peau ne se montre bien trop, pas à notre époque. J’inspirais doucement en détournant mon regard. « Ce n’est pas une tenue en présence d’une dame ! », murmurais-je alors en évitant de retourner mon regard vers lui. « Qu’êtes-vous ? », demandais-je alors, interrogée car cet homme n’était pas un simple humain ou même un simple duc. « Peu douillet pour un duc… », disais-je en arquant un sourcil !
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 18:16 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Assis sur le rebord de la fenêtre, je laissais sécher l'eau qui perlait mon corps tout en relisant un ouvrage que j'avais lu des milliers de fois. Un vieux livre écrit en Irlandais, un vieux dialecte qu'on m'avais apprit plus jeune, quelque chose qu'on ne voyait plus et que très peu savait vraiment lire. Dans ses mots se cachait des contes et des légendes de mon pays, mais c'était surtout des histoires véridiques sur ma famille. Je sais bien que notre vie n'avait jamais été rose, loin de là. Mais je pouvais vivre avec le fait d'être un semblant de paysan au lieu de se riche fils qui selon moi était rester dans son pays natal. Je lisais donc quelques lignes d'une histoire parlant d'une femme et d'un homme. Du coin de l'œil je vis les couvertes bougé et lorsqu'elle se réveilla, je déposais ma main sur le couvercle du livre et disant une incantation je verrouillais les secrets familiaux. Sans grande surprise, je m'attendais a ce qu'elle réagisse ainsi. « Vous êtes chez mon oncle et ma tante, il m'a sembler en vous voyant perdre connaissance qu'il valait mieux que je vous ramène ici, plutôt que de vous laissez entre les mains malsaines de n'importe qui. » J'allais rangé le livre sur une tablette, puis me retournais vers elle. « Vous me demandez qui je suis, alors que vous même vous envoyez les gens valsé dans les airs. Qui de nous deux est le plus étrange ?» Reprenant mon souffle, j'allais me chercher une blouse pour couvrir le reste de mon corps. Puis je m'approchais d'elle, mais cette fois elle avait une blessure qu'elle pourrait voir. Déposant ma main avec douceur, j'effleurais sa peau. « Je crois que l'évidence est là, nous nous ressemblons. » En retirant ma main sa blessure avait complément disparue !
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Lun 2 Déc - 18:32 ► réponds-lui !

3 a écrit:

Ou étais-je, cette question tellement inutile. Dans le fond, je ne posais pas les bonnes questions enfin je pense. Je riais nerveusement en regardant alors celui-ci. « N’importe qui… », Répétais-je en arquant un sourcil, un peu amusée sur le coup car dans le fond, il était n’importe qui à mes yeux. Enfin aussi simple soit-il. Peureuse à l’idée de me laisser aller à regarder à nouveau sa tenue peu con-venante, je ne me retournais pas. Toujours pas. Qui de nous étais le plus étrange ? Il semblait peu surpris comparé à moi, je n’avais pas vraiment croisée beaucoup de sorciers ou que sais-je depuis mon arrivé à Salem. Je ne parlais pas à grand monde. D’après ma tante, nous étions les seules en ville pour l’instant. Ignorante pour une fois. J’arquais un sourcil en le regardant en évitant toujours de tourner mon regard et même quand il fut habillé. Je ne me retournais qu’au moment ou il effleurait ma peau, celle-ci réagissait comme un aimant à ce toucher, me déstabilisant sur le coup. Alors qu’il retirait sa main, je pris pour seule réaction de frapper sur celle-ci. « Je vous ai dit de ne pas me toucher sans ma permission. », soufflais-je alors en le regardant attentivement. « On ne se ressemble pas. Ok, vous faites ce que vous faites et je fais ce que je fais mais… il existe bien des choses capables d’autant. Démons… sorciers… mages, vous voulez mon pouvoir ? Prenez-le ! », disais-je en regardant la tablette attentivement avant de la déplacer d’un regard en la balançant sur sa tête. « Mais ça ne sera pas facile ! », oui, oui, son insistance à ne pas me laisser passer dans cette ruelle ne m’inspirait pas confiance. « On a déjà tenté d’être gentil… mais on m’a dit de ne pas se fier aux apparences… », disais-je d’un ton plein d’ironie.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mar 3 Déc - 2:49 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Ma main poser sur sa peau, je sentais chacune de ses vibrations. C'est une chose que j'ai toujours aimé, toucher. On peut ressentir des choses que l'on ignore parfois et souvent ça nous en dit plus qu'un simple regard. Un regard peu mentir, mais un corps non. Je crois néanmoins qu'elle ne voit pas les choses ainsi, car la tape, oui je dis bien tape, car la force qu'elle utilise n'est en rien comparable avec la force dont elle a usée pour me projeter un peu plus tôt. D'ailleurs ma cousine m'en a fait la remarque pendant que l'autre dormais. Elle s'est bien moquer de moi en ajoutant que je devrais ranger le bazar que j'ai causé. Je m'apprête a lui répliquer quelque chose lorsque je reçois quelque chose sur la tête. Bon là elle commence a me m'énerver ! Me forçant cette fois a sourire, j'essai de me contrôler pour ne pas perdre le contrôle car qui sait si j'aurais envie de la soigné après. « Je ne suis pas celui dont vous devriez vous méfier, bien au contraire. Tout ceux qui se trouve en bas voudront vous faire du mal, se ne sont pas des enfants de cœur et ils n'ont aucune pitié surtout s'ils désirent quelque chose. Vous semblez être quelque chose qu'ils pourraient désirer. » Je me lève et va ouvrir la porte. « Si vous désirez partir rien ne vous retiens, je n'ai nullement l'intention de vous voler vos pouvoirs, les miens me suffisent amplement. », dis-je avec une certaine froideur. Disons que je n'ai pas l'habitude d'être traiter ainsi et cela depuis bien longtemps et mon égaux en prend tout un coup.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mar 3 Déc - 3:38 ► réponds-lui !

3 a écrit:
Oh mon dieu, cet homme, je n’étais pas vraiment certaine. Devais-je avoir confiance en lui ? Peut-être ou peut-être pas mais cette situation m’angoissait réellement de plus en plus ou étais-ce cette attraction sexuelle que je sentais peu à peu grandir en moi. Alors que je le regardais après ce coup de table, il souriait. Il est sérieux, cet homme ? Je ne devais pas me méfier ? Je riais nerveusement en profitant qu’il se lève pour faire de même et le regardant attentivement. « La dernière personne qui m’a dit de ne pas me méfier de lui… m’a balancé des boules de feux en pleine poire… », soufflais-je en le regardant attentivement. Des batailles, j’en avais eue mais pas ici. Je le regardais de haut en bas. Je m’approchais peu à peu de lui, finissant par m’arrêter et fermant les yeux pour me concentrer, cela pris plusieurs secondes avant que je ne me projette juste devant lui astrallement. « Vous ne me connaissez pas et je ne suis pas quelque chose, je suis une femme, peut-être une sorcière, certes mais une femme. Je mérite autant le respect que quoiqu’onques. Quand une Milady comme vous semblez les nommer vous demandes de la laisser passer, on le fait et même si on est un duc. Je n’en ai rien à faire de votre statut. La modestie que vous pouvez même avoir ? Je ne m’y intéresse pas. », j’inspirais doucement. « Vos pouvoirs vous suffisent surement amplement mais… ma méfiance envers les hommes me va réellement bien, je ne veux pas en changer. Quoique vous dites, rien ne me prouve que vous me dites vrai… », disais-je en arquant un sourcil. Cette fougue que je mettais dans mon regard sans quitter le sien. « S’ils me cherchent de toute manière, ils me trouveront. Vous ne savez pas ce dont je suis capable. », disais-je en haussant les épaules. « Je les attends… je vous attends, vous voulez voler ? », proposais-je alors d’un ton enjoué !
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mar 3 Déc - 10:38 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Sa façon de me parler commence peu à peu à me faire bouillir. Je me retiens de tout commentaire, car sur ce fait elle-même ne me connaissait pas. Sûrement que l’on se jugeait mal l’un comme l’autre, mais tant pis. Croisant le fer de nos regards, je m’assure de bien l’affronté. Je ne suis pas du genre à perdre et encore moins devant ce genre de fille à papa qui pense être parfaite et surtout qui a la langue bien pendu. « Cela tombe bien, je n’ai jamais été un très bon duc, je ne fais que ce qu’on m’a apprit, soit ce présenté à une dame comme je l’ai fait. La sauvé en cas de détresse et surtout prendre soin d’elle jusqu’à ce qu’elle aille mieux. Et vous semblez en parfait état et donc je ne vois pas l’intérêt de vous gardez dans ma chambre. », dis-je en prenant appui sur le rebord de la porte en bois. « Seulement, comme vous semblez avide de désir à m’envoyer balader dans les roses pour des raisons que j’ignores, puisque vous êtes bien la seule qui ne présente aucun plaisir à vous retrouver en ma compagnie. Alors je ferai exception et je me ferai une joie de vous donnez cette raison.» Je m’avance vers elle et déposant mes mains sur sa taille je dépose mes lèvres à la commissure des siennes. Cela n’a rien d’un vrai baisé, mais je sais que pour une pucelle, car elle l’est très certainement, c’est une toute autre histoire. Et avant même qu’elle puisse répliquer, je la pousse en dehors de ma chambre en fermant la porte. « Je fus enchanté milady, mais les enfantillages ne sont pas pour moi un plaisir. Alors prenez soins de vous en partant. », soufflais-je à travers le panneau de bois.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 2:56 ► réponds-lui !

3 a écrit:
Alors que je m’énervais sur lui enfin non, je lui donnais une leçon ou un truc du genre enfin la forme, on s’en fiche mais je le faisais, c’était tout sauf que ça ne semblait pas de son gout à sa réaction alors qu’il avait alors qu’il disait ne pas être bon duc. Ah bon ? Je n’avais pas remarquée, pas du tout. Je riais légèrement sur ce coup. « Je vous en… », C’est alors qu’il approchait pour déposer un baiser sur les lèvres de mon corps, le vrai moi, je le sentais dans mon corps astrale, sa main dans mon dos, posant mes doigts sur mes lèvres et les effleurant alors que sur le coup, la déconcentration me renvoyait dans mon corps. Je n’avais pas pu faire quoique ce soit, la pucelle déroutée de suite. Je le laissais me pousser dehors avant de réagir d’un regard et l’envoyant valser dans l’autre bout de sa chambre. Un fracas se fit entendre mais je n’avais pas vraiment peur sur le coup. « Je vous avais prévenu de ne pas me toucher sans ma permission… jamais deux sans trois ? Pas de quatrièmes ! », Soufflais-je en le regardant avec ce petit côté féroce dans le regard alors que j’approchais. « Respectez les Milady… car tout ce que vous me montrez là, c’est que vous ne méritez pas de savoir qui je suis ou même d’avoir une once de confiance. La confiance d’une femme se mérite… », disais-je en le regardant. Ce regard de mépris mais oui, il avait dépassé les bornes en agissant ainsi car le pire étant surtout que c’était agréable et je me haïssais pour même simplement avoir eue cette sensation. « La prochaine fois, retenez-vous de prendre une femme pour un objet ! », disais-je sur un ton d’agacement en reculant.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 3:54 ► réponds-lui !

Duncan a écrit:
Moi un duc, me faisant traiter ainsi ! Pour la seconde fois de la soirée je venais de voler, littéralement volé dans les airs, atterrissant cette fois dans un petit meuble où je cachais mes potions. J’aime bien les pucelles, surtout pour le plaisir de la chair, mais sinon elles ont le don de m’agacer, comme elle en ce moment. Leur petit coté farouche en est exaspérant. Elle pense que toutes les femmes se doivent d’être traiter comme elle l’imagine... Je n’en crois pas un mot, combien de femmes m’ont supplié de faire certaine chose avec elle. Le monde est impure, dure et surtout cruel. « Je sais déjà quel genre de femme vous êtes. Vous penser que toutes les femmes doivent être respectées, comme on devrait vous respecter. Vous êtes encore jeune, car bien des femmes feraient bien des choses pour avoir un homme. Ne croyez pas le monde car celui-ci est sûrement bien plus cruel surtout pour vous qui sembler si fragile. La politesse et la délicatesse n’est qu’une apparence de plus dans ce monde de richesse et tôt ou tard vous verrez que le coté perfide du monde est bien pire que vous le penser. », dis-je en approchant d’elle. « Je n’ai nul besoin de votre confiance, peut-être ais-je eu droit à votre mauvaise foie envers les hommes par mon arrogance. Mais sachez que je suis ce que je suis, je suis né avec un titre que jamais je n’aurai dut posséder et j’agis comme bon me sembles car franchement qui me dirait non ? » Sur ses mots, je la poussais à l’extérieur de ma chambre. « Et je vous souhaite bon retour chez vous ! » Je fermais la porte en la claquant derrière elle. Mon nom résonna dans la demeure, crié par ma tante, mais je ne lui portais pas plus d’attention que cela. Mon regard se porta plutôt sur mes potions entièrement détruites.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 9:16 ► réponds-lui !

Paige a écrit:
Le bal de Salem avait lieux tous les mois environ, une soirée où l’on avait un grand buffet souvent cuisiner par les paysans dont on fouettait les mains quand ils picoraient en cuisinant. C’était écœurant à voir. Je n’étais pas vraiment du genre à aimer ça. Le dégout de la richesse. Je n’aimais pas trop les réceptions mondaines des riches à cause de ça mais ma tante nous y forçais enfin me forçait car Aurore se mêlait parfaitement à cette foule. J’avais été habillée d’une des plus belles robes. Une robe magnifique ainsi qu’un bustier qui rehaussais ma poitrine et m’empêchait de respirer. Je voulais juste la retirer, vivre, rire sans avoir l’impression d’étouffer. Ces françaises qui ont inventées ça, je les détestais. Ils sont fous les gens. J’inspirais doucement alors que nous étions présentés à la foule de notre nom avant que nous descendions les escaliers. Moi sous le nom de Sage Beaudelaire, portant ce prénom à l'époque. Mon masque devant le visage. Je devais me prêter au jeu de cette foutue mascarade. J’avais horreur de ça. Je soupirais doucement une fois en bas des marches. Baissant mon masque quelques instants avant de le remettre aussitôt et aller dans mon coin. Un homme m’invitait à danser, un type aux cheveux noirs, je déclinais son offre en allant vers le buffet. Je ne voulais pas me faire courtiser mais je voulais que la soirée se termine. J’avais assez fréquentée d’homme rustre qui ne souhaitait que m’aider à retirer cette robe pour une décennie grâce à ce duc du pays des cochons. Une fois devant le buffet, j’en mettais un peu dans une assiette, un peu beaucoup mais mon but n’était pas de les manger mais de m’éclipser en coulisse pour nourrir les serviteurs.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 9:48 ► réponds-lui !

Duncan, le Duc a écrit:
Bien que je sois arrivé il y a un moment déjà et que ma famille qui m’héberge n’ait plus un sous, moi je gardais ma fortune. J’avais même encore quelque habits qui pour la plus part ne me faisait plus. J’avais grandis et de jeune adulte j’étais devenu un homme. Assis à l’une des tables de la taverne, je regarde ma tante faire les cent pas. Elle tient toujours à ce que j’aille me montrer en publique pour le bien de notre famille. Le plus clair du temps je m’y refuse, mais au final je m’y retrouve obligé. Et comme cette fois elle a fait venir un tailleur exprès pour me faire des vêtements neufs, je crains ne pouvoir refuser, à mon grand désespoir. Je finis donc avec une nouvelle tenue que je reçois le jour même de ce bal. Un pantalon qui m’arrête aux genoux avec des bottes tout aussi longues que l’espace qui se crée. Une chemise couverte d’un gilet de soie et une redingote longue. Ma tante affiche un air qui me dit qu’elle semble fière de moi, je soupire et prend la canne qu’elle me donne ainsi que le masque et le chapeau haut de forme. En arrivant à cette soirée, je me sens déjà pas à mon aise. On me présente à mon arrivé, gardant mon masque, j’essai de me trouver un coin cacher. Je me sens nu depuis que ma tante m’a coupé les cheveux pour me donner un air moins paysans. Tapis dans l’ombre, je regard les personne arriver et trouvant l’animation ennuyeuse je m’éclipse et me rend au cuisine ou je tombe nez à nez avec une servante. Tenant un panier de prune, je m’avance vers elle et retirant mon masque je prends l’un des fruits que je porte à mes lèvres. Je la vois rougir et je sais pertinemment que je la tiens au creux de ma main. Sans grande attente, elle échappe son panier au sol et je m’avance vers elle. Inutile de dire que je n’ai pas besoin de parler, mes lèvres sucrées caressent sa peau. Au diable la belle apparence, ce soir je compte bien m’amuser avec qui le veux bien.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 12:11 ► réponds-lui !

Paige A. B. Baudelaire a écrit:
C’était fou mais oui, j’étais là à récolter des plats dans une assiette pour nourrir les servantes. Alors que j’avais une assiette assez pleine et que tout le monde s’amusait, je me contentais de m’aventurer dans les couloirs, cherchant le cuisine avant de trouver celles-ci guidée par l’odeur. Alors que je poussais la porte de bois, je cherchais quelqu’un, me faisant petite tandis que j’assistais à cette scène des plus aberrantes à mes yeux, un homme bien habillé pour la fête était en train de laisser ses lèvres s’aventurer au coup d’une servante. Je trouvais ça ignoble, profiter d’une femme sous prétexte qu’elle pourrait se retrouver sans un sous pour nourrir sa famille. D’un coup, je laissais mon regard faire valser cet homme à l’autre bois de la cuisine, entendant le vacarme qu’ensuivie mon geste alors que j’approchais de en grimaçant. « C’est ignoble d’abuser une servante… », disais-je d’un ton d’écœurement alors que je posais l’assiette devant la jeune femme en souriant. « Emportez ça avec vous pour les enfants ou vos proches ! », disais-je d’un ton doux mais elle ne semblait pas vraiment réceptive, là. Je commençais clairement à paniquer en ce moment-même.
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 12:34 ► réponds-lui !

Duncan, le duc a écrit:
Mes lèvres parcourraient la peau satiné de la servante, quant a mes mains je les posais sur ses hanches. La douceur d'une femme peut-être si agréable et je dois bien admettre que je me plais bien plus a donner du plaisir à ce qu'on appèlerait une paysanne plutôt qu'à une fille de riche. Sous mes mains adroites je la sens petit à petit tomber vers ce monde empli de vices. Oui car tout ceci est un vice, mais un vice si plaisant qu'il est dure de ne pas y succomber. Je n'entends même pas la porte s'ouvrir et je ne m'attend très certainement pas à valsé une fois de plus dans une pièce. Renversant une table en atterrissant, je ne peux que penser au courbature que j'aurai demain si je ne fais rien pour me guérir. Étendu contre le sol, je sens quelque chose s'enfoncer dans mon dos, grimaçant j'en ressort une carotte couper en deux suite a sa chute inattendu en bas de la table. J'ai à peine réouvert les yeux pour regarder ce bâtonnet orange briser que j'entends une voix hurler. Manquait plus que ça, je venais d'entendre une voix qui m'avait indiquer que nous n'étions plus seul et je dois bien admettre que ça expliquait bien des choses. Me redressant j'allais sans réfléchir prendre la main de la personne qui m'avais fait volé dans la pièce. Si on découvrait qu'il y avait des sorcières ou des sorciers à cette soirée je ne donnerais pas cher de notre peau. Courant sans reprendre mon souffle, nous débouchions dans un immense jardin. « Vous ne saviez pas qu'il est mal vu d'usé de ses pouvoirs ici, surtout à Salem. Vous voulez brûler sur le bûcher comme toute les autres ? »
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 12:47 ► réponds-lui !

Paige A. B. Baudelaire a écrit:
[color=#674887]Le bien et le mal, telle est la question mais cet individu que j’avais chassé me prenait par la main pour m’attirer en courant, je le suivais mais qui me disait qu’il ne m’emmenait pas au bucher ? A quoi bon, je m’en fichais bien que celui soit suicidaire mais je pensais à autrui bien plus qu’à moi. Et alors que nous étions assez éloignés, je m’arrêtais dans ma course, stoppant cet homme par la même occasion. Homme qui n’avait plus son ridicule masque. Je reconnue le duc des cochons, pas vraiment surprise mais il semblait différent. Je riais nerveusement. « Mais arrêtez de me sauver ! », disais-je alors avec une pointe d’agacement. « Si vous avez tellement envie de plaisir charnel trouvez une femme, pas les servantes qui ne pourraient même pas oser refuser ! Je n'ai pas peur de finir cramer... tant que je le fais en respectant mes convictions. », disais-je d’un ton moqueur un peu. « Ou retirez-moi ma robe au moins, vous seriez utiles ! », disais-je mais bien sûr, c’était de l’ironie même si j’étouffais réellement dans celle-ci. Mes pieds me faisaient souffrir aussi avec les talons. Comment les femmes pouvaient se faire souffrir ? J’inspirais doucement en lâchant mon masque et allant m’assoir sur un banc pas loin en l’ignorant presque. L’ignorance est le plus grand des mépris, je me trompe ?
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le petit mot doux de Invité qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 13:19 ► réponds-lui !

Duncan, le duc a écrit:
Reprenant mon souffle je regardais ce petit bout de femme que j'avais sortit d'un enfer impossible. Sa voix me disais vaguement quelque chose, mais avec ce masque et cette pénombre j'avais peine à la reconnaître. Seulement j'aurais du me douter de qui se trouvait derrière ce masque et cette robe un peu trop distinguer pour le souvenir que j'avais d'elle. Si j'avais bu un peu plus et que je n'aurais pas été certain que c'était elle qui m'avait envoyer dans les roses. Elle retira son masque. « Vous ! », dis-je en voyant son visage. Eh bien voilà j'avais littéralement la poisse. Poussant un soupire, je l'observait là assise. « Vous risquer toujours votre vie ainsi ? Car franchement vous devriez y penser deux fois avant d'agir ainsi et même si nous n'avons pas la meilleure des relations, je dois bien admettre que perdre une autre sorcière me ferais quelque chose. Même si vous dites vous battre pour vos convictions parfois il vaut mieux se retenir. Nous sommes tellement peu ici. » Je retirais ma veste et allait la poser sur ses épaules. Je suis peut-être impoli et rustre pour un duc, mais j'ai encore certaines bonne manière.
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le petit mot doux de Paige A. B. S. Baudelaire qui mange un cookie le Mer 4 Déc - 13:36 ► réponds-lui !

Paige A. B. Baudelaire a écrit:
Assise son mon banc, il réalisait qui j’étais, d’un vous qui me fis sourire. Enfin ? Qui d’autres pourrait le faire valser ? Je riais nerveusement sans broncher. Mon regard se laissait aller à la lune alors que je l’écoutais faire comme s’il me connaissait. J’étais donc dangereuse à cause de mes convictions et alors ? Je tournais mon regard vers lui. « J’ai vue des hommes, des riches… aussi stupide que vous lancer du pain frais aux cochons en regardant avec mépris cette petite fille qui n’avait rien mangée depuis 2 jours donc mes convictions, j’y tiens ! », soufflais-je en ne le regardant pas mais la tristesse était là car cet enfant, c’était moi. Je m’en souvenais comme si c’était hier. Cette famine qui avait menée à mon départ de la France. Ils n’avaient plus les moyens pour nourrir 3 enfants. Charles était plus utile, c’était un homme mais pas moi. Je tournais mon regard vers lui. « Alors même si j’en meurs, merci de vous soucier de ma probable perte mais je remarque que les sorciers ne valent pas mieux qu’un homme comme un autre. », soufflais-je doucement. « Je n’ai pas grandie dans ce monde de luxure ou les servantes sont des pains… que l’on mange à notre guise ! », disais-je en le regardant attentivement.
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